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Les petites amies d'Annie
Les petites amies d'Annie
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14 mars 2010

SEANCE DE MARS 2010

13ECONTELE CHOIX DE LUCYFLASH: Le treizième conte de Diane Setterfield

La majorité du roman se déroule dans le Yorshire. Imaginez la Lande l'hiver, ses côtés bruns et sauvages, ses moutons. Imaginez une maison anglaise isolée. Imaginez le fantôme de Charlotte Brontë. Mais pas seulement ! Imaginez une vieille dame pleine de bijoux avec des cheveux oranges. Imaginez des bibliothèques remplis de précieux livres.

Vous avez Vida Winter d'un côté. Vous avez Margaret Lea de l'autre. Elles vont confronter leurs vérités.

Vida Winter est une romancière prolifique et reconnue en Angleterre. Elle est comparée à Charles Dickens. Elle est âgée et malade et souhaite dire la vérité sur sa vie. Cette vérité qu'elle n'a jamais voulu aborder.

Margaret Lea est une biographe et aussi une libraire. Elle travaille dans la librairie de son père ; ce dernier y conserve des petits trésors de littérature, des éditions uniques. C'est un passionné. Margaret aime les livres. Elle les adore. Ils sont son refuge. Margaret Lea connaît la vérité sur sa propre naissance. Cette vérité la hante.

Vida Winter va engager Margaret Lea pour retranscrire ses propos. Dubitative, Margaret va se laisser peu à peu, puis complètement, emporter par l'histoire que lui conte Vida.

On va de surprises en surprises. D'horreur en horreur. De fantômes de l'une vers le fantôme de l'autre. C'est un livre surprenant, palpitant et plein d'espoir aussi. Il raconte la famille sous ses pires aspects et aussi sous ses meilleurs.

J'ai eu du mal à entrer dedans car l'écriture trop envolée ne me plaisait pas et je me suis fait avoir tout autant que Margaret par le récit de Vida.

BEA LA LA

Pendant les trente premières pages, j'aimais assez le style léger et le contexte (une bouquiniste, des livres partout !!!) et puis j'ai commencé à trouver que l'histoire s'étirait à n'en plus finir. De la brume, des fantômes, des envolées lyriques lues et relues cent fois... bref rien de très original. Des centaines de pages pour quelques "révélations" grosses comme des montagnes et un profond ennui. Bof.

L'APOTHICAIRE

Je suis un peu confuse par ce roman. Il y avait longtemps que je souhaitais le lire, et c'est pour cette raison que je l'avais proposé aux petites amies. Je me souviens l'avoir lu avec plaisir, mais là est le drame, c'est tout ce dont je me souviens!!! Un grand merci d'ailleurs à Béalala qui s'est chargée du résumé de l'histoire! Ce qui ressort donc pour moi de cette aventure littéraire, c'est sans nul doute que j'ai plus eu de plaisir dans l'assouvissement de la lecture que dans la lecture en elle-même. Un nouvel aspect de la lecture pour moi...

Lucyflash

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